Les extraits suivant sont tirés de :
Kryeon = les enseignements de Kryeon tels que channelés par Lee Carroll dans ses 8 livres. (Ed. Ariane)
Dieu = les enseignements de Dieu tels que channelés par Neale Donald Walsh dans Amitié avec Dieu. (Ed. Ariane)
Comment nous débarrasser de notre jalousie ?
(Dieu)
p.140 Débarrasse-toi de l’idée que le bonheur dépende de quoi que ce soit d’extérieur à toi-même, et tu te débarrasseras de la jalousie. Elimine la pensée que l’amour, c’est ce que tu obtiens en échange de ce que tu donnes, et élimineras la jalousie. Cesse de revendiquer le temps, l’énergie, les ressources ou l’amour d’une autre personne, et tu te libéreras de la jalousie.
Oui, mais comment y arriver ?
Vis ta vie pour une nouvelle raison. Comprends que son but n’a rien à
voir avec ce que tu en tires, et tout à voir avec ce que tu y mets. C’est également
vrai en ce qui concerne les relations.
Le but de la vie est de créer ton Etre à neuf, dans la prochaine
version la plus grandiose de la plus grande vision que tu aies jamais entretenue
à propos de qui tu es. C’est d’annoncer et de devenir, d’exprimer et
d’accomplir, de vivre et de connaître ton Etre véritable.
Cela n’exige rien de la part des autres dans la vie – ni d’aucune
autre personne en particulier. C’est pourquoi tu peux aimer les autres sans
rien exiger d’eux.
L’idée d’être jaloux du temps que la personne aimée passe au golf,
au bureau ou dans les bras d’un autre ne peut te venir que si tu t’imagines
que ton propre bonheur est compromis lorsque la personne aimée est heureuse.
p. 143 Pourquoi
devriez-vous abandonner votre amour pour cette personne afin d’en aimer une
autre ? Ne pouvez-vous pas aimer plus d’une personne à la fois ?
La difficulté, c’est qu’ils [les gens] confondent l’amour et le
besoin. Ils croient que ces deux mots, et ces deux expériences, sont
interchangeables. Pourtant, ils ne le sont pas. Aimer quelqu’un n’a rien à
voir avec le fait d’en avoir besoin.
On peut aimer une personne et, en même temps, en avoir besoin, mais on
ne peut pas l’aimer parce qu’on en a besoin. SI on l’aime pour cette raison, ce
n’est pas du tout elle qu’on a aimée, mais ce qu’elle nous a donné.
Lorsqu’on aime un autre pour qui il est, qu’il nous apporte ou non ce
dont on a besoin, on l’aime vraiment. Lorsqu’on n’a besoin de rien, alors
on peut vraiment l’aimer.
Rappelle-toi, l’amour est sans condition, sans limites et sans attente.
Pourquoi/comment la « polyfidélité *» est-elle possible ?
(*néologisme entendu dans une émission TV)
(Dieu)
p. 143 Pourquoi
devriez-vous abandonner votre amour pour cette personne afin d’en aimer une
autre ? Ne pouvez-vous pas aimer plus d’une personne à la fois ?
La difficulté, c’est qu’ils [les gens] confondent l’amour et le
besoin. Ils croient que ces deux mots, et ces deux expériences, sont
interchangeables. Pourtant, ils ne le sont pas. Aimer quelqu’un n’a rien à
voir avec le fait d’en avoir besoin.
On peut aimer une personne et, en même temps, en avoir besoin, mais on
ne peut pas l’aimer parce qu’on en a besoin. SI on l’aime pour cette raison, ce
n’est pas du tout elle qu’on a aimée, mais ce qu’elle nous a donné.
Lorsqu’on aime un autre pour qui il est, qu’il nous apporte ou non ce
dont on a besoin, on l’aime vraiment. Lorsqu’on n’a besoin de rien, alors
on peut vraiment l’aimer.
Rappelle-toi, l’amour est sans condition, sans limites et sans attente.
p.144 Pour
être un être hautement évolué, vous devez toujours être sincère.
D’abord, vous devez être sincère envers vous-même, puis envers un autre,
puis envers tous les autres. Et si vous ne l’êtes pas, vous ne pouvez l’être
envers personne. Ainsi, si vous aimez quelqu’un d’autre que la personne qui
veut que vous n’aimiez qu’elle, vous devez le dire, ouvertement, honnêtement,
directement, clairement et immédiatement.
Et c’est sensé être acceptable ?
Personne n’est obligé d’accepter quoi que ce soit. Dans les
relations hautement évoluées entre êtres très avancés, chacun vit
simplement sa vérité – et chacun dit la vérité qu’il vit. Si quelque
chose se passe avec quelqu’un, chacun le reconnaît simplement. Si quelque
chose est inacceptable pour quelqu’un, c’est dit, tout simplement. La vérité
est partagée avec tout le monde, sur tout, tout le temps. Cela prend la forme
d’une célébration et non d’un aveu.
L’honnêteté est la forme d’amour la plus élevée.
(Kryeon)L’amour est
silencieux, l’amour n’a pas d’exigences, l’amour ne s’enorgueillit
pas, l’amour a la sagesse d’utiliser parfaitement les trois premiers
attributs.
(Dieu)
p.321 L’amour est patient et doux ; l’amour n’est ni jaloux ni vantard ; il n’est ni arrogant ni brutal. L’amour n’insiste pas pour faire les choses à sa manière ; il n’est ni irritable ni rancunier ; il ne se réjouit pas des torts d’un autre, car il sait qu’il n’existe ni bien ni mal. L’amour porte toutes les choses, sait toutes les choses, supporte toutes les choses, embrasse toutes les choses, mais ne pardonne rien, car l’amour sait que rien ni personne n’a besoin de pardon.
Qu’est-ce que ça veut dire, être d’un amour total ?
(Dieu)
p.248 Qu’est-ce que ça veut dire, être d’un amour total ?
Cela veut dire être d’une présence totale, à chaque instant. Etre
d’une conscience totale. Etre d’une ouverture, d’une honnêteté, d’une
transparence totales. Cela signifie être totalement prêt à exprimer à fond
l’amour qui est dans ton cœur. Etre d’un amour total, cela veut dire être
d’une nudité totale, sans but ni motif cachés, sans rien
de caché.
Et tu dis qu’il est possible pour les êtres humains ou les gens ordinaires comme moi, d’atteindre un tel amour ? Que nous en sommes tous capables ?
C’est plus que ce dont vous êtes capables. C’est ce que vous êtes.
C’est votre nature véritable. La chose la plus pénible, pour vous, c’est
de le nier. Et chaque jour, vous le faites. Voilà pourquoi votre vie semble si
difficile. Mais lorsque vous faites ce qui est facile, lorsque vous décidez
d’agir à partir de ça et d’être, qui
vous êtes vraiment – c’est-à-dire pur amour, illimité et
inconditionnel – alors votre vie redevient facile. Tout le vacarme disparaît,
toute la lutte s’en va.
Cette paix, on peut l’atteindre à tout moment. On peut y arriver en se
posant une simple question :
Que ferait l’amour maintenant ?
Encore la question magique ?
Oui. C’est une question merveilleuse, car tu sauras toujours la réponse. Elle agit comme par magie. Elle nettoie, comme du savon. elle enlève l’inquiétude de la proximité. Elle fait disparaître tout doute, toute peur. Elle baigne l’esprit avec la sagesse de l’âme.
Comment peut-on aimer sans se perdre soi-même ?
(Dieu)
p.146 Veux-tu dire qu’il est bien de se trouver dans les bras de quelqu’un d’autre, pourvu qu’on soit honnête par rapport à ça ?
Je dis qu’une chose est bien ou non selon ce que vous décidez d’en faire. Je dis que les gens qui sont en relation ne peuvent pas savoir si ça leur va s’ils ne savent même pas qu’une telle situation se produit.
Je dis que ce qui ne fonctionne pas dans les relations hautement évoluées,
c’est le mensonge – à propos de n’importe quoi. Je dis que le mensonge
est ce qu’il est, que ce soit par action ou omission. Et Je dis que lorsque
toute la vérité sera dite, vous déciderez si vous pouvez aimer une personne
qui en a aimé ou qui en aime une autre, en vous appuyant sur ce que vous déclarez
être votre forme de relation la plus appropriée et la plus confortable – et
que votre choix sera fondé, dans la plupart des cas, sur ce dont vous croyez
avoir besoin d’une autre personne afin d’être heureux.
Je dis que si vous n’avez besoin de rien, vous pouvez alors aimer une
autre personne inconditionnellement, sans limites d’aucune sorte. Vous pouvez
lui accorder une liberté totale.
Oui, mais alors, on ne serait pas partenaire à vie avec elle.
Tu ne le serais pas, à moins de l’être. La maîtrise est atteinte lorsque votre décision, ou votre choix, est fondée sur ce qui est vrai pour vous, plutôt que sur ce que quelqu’un d’autre vous a dit être vrai, ou sur la convention actuelle, établie par votre société, à propos des partenaires à vie, ou sur ce que vous croyez que les autres pourraient penser de vous.
Les maîtres se donnent la liberté de faire tous les choix qu’ils
veulent – et donnent la même liberté à ceux qu’ils aiment.
Partout, la liberté est un concept fondamental de la vie, car elle est
la nature fondamentale de Dieu. Tous les systèmes qui réduisent, restreignent,
affectent ou éliminent la liberté, d’une manière ou d’une autre, vont à
l’encontre de la vie même.
La liberté n’est pas le but de l’âme mais sa nature même. De par
sa nature, l’âme est libre. Par
conséquent, le manque de liberté constitue une violation de la nature même de
l’âme. Dans les sociétés véritablement éclairées, la liberté n’est
pas reconnue comme un droit, mais comme un fait. C’est une chose qui est,
plutôt qu’une chose qui est donnée.
(…)
Mais voici la clé à partir de laquelle cela fonctionne dans ces sociétés hautement évoluées. Tous les individus en amour doivent choisir ce que l’amour ferait maintenant. Tous les individus en amour doivent choisir ce que l’amour ferait maintenant. Une personne ne peut décider de faire une chose qu’elle croit être de l’amour, sans l’accord de l’autre ou des autres ? Tous les individus doivent aussi être adultes, mûrs et capables de prendre eux-mêmes de telles décisions.
Cela élimine toutes les questions que tu avais à l’esprit portant sur
l’abus des enfants, le viol et autres formes de violation personnelle.
Et si ce que deux autres personnes trouvent affectueux ne l’est pas pour moi ?
Alors, tu dois exprimer aux autres tes sentiments et ta vérité. Et, selon leur façon de réagir à ta vérité, tu pourras décider des changements que, le cas échéant, tu veux apporter à ta relation avec eux.
Mais supposons que ce ne soit pas si facile ? Que j’ai besoin d’eux ?
Moins tu as besoin de quelqu’un, plus tu peux l’aimer.
Comment peut-on n’avoir besoin de rien de la part d’une personne qu’on aime ?
En l’aimant non pas pour ce qu’elle peut te donner, mais juste pour ce qu’elle est.
Mais alors, elle peut te mener par le bout du nez !
Le fait d’aimer quelqu’un ne veut pas dire qu’il te faille cesser
de t’aimer toi-même.
Le fait d’accorder à un autre une entière liberté ne veut pas dire
lui donner le droit d’abuser de toi, ni te condamner à une prison de ta
propre fabrication dans laquelle tu vivrais une vie que tu ne choisirais pas
afin que cet autre puisse vivre une vie qu’il choisit. Accorder une entière
liberté à l’autre signifie ne lui imposer aucune limite, d’aucune sorte.
Eh ! minute. Comment peut-on empêcher quelqu’un de nous mener par le bout du nez si on ne lui impose aucune limite ?
Ce n’est pas à lui que tu imposes des limites, mais à toi-même. Tu limites ainsi ce que tu choisis d’expérimenter, et non ce qu’un autre a le droit de vivre.
Cette limite est volontaire ; ainsi , en réalité, ce n’est
aucunement une limite. C’est une façon de déclarer
qui tu es. C’est une création. Une définition.
Rien, ni personne, n’est limité dans le royaume de Dieu. Et l’amour
ne connaît que la liberté. Tout comme l’âme. Tout comme Dieu. Et ces mots
sont tous interchangeables. Amour. Liberté. Ame. Dieu. Tous portent des aspects
de l’autre. Tous sont l’autre.
Tu es libre de faire connaître qui
tu es à chaque instant présent. Et effectivement, tu le fais, sans même
le savoir. Tu n’es pas libre, toutefois, de déclarer à quelqu’un qui il
est et qui il doit être. Cela, l’amour ne le ferait jamais. Ni Dieu, qui est
l’essence même de l’amour.
Si tu veux proclamer et déclarer que tu es une personne qui exige et a
besoin de l’amour exclusif de l’autre pour être heureuse, te sentir à
l’aise, convenable et en sécurité, libre à toi d’annoncer cela. Tu le
montreras de toute façon par tes actions : ainsi, il te sera inutile de le
révéler.
Si tu veux proclamer et déclarer que tu es une personne qui exige et a
besoin de la majorité du temps, de l’énergie et de l’attention de
l’autre pour être heureuse, te sentir à l’aise, convenable et en sécurité,
libre à toi de l’annoncer aussi. Mais Je te dis ceci : si tu laisses ta
déclaration t’amener à être jaloux d’un autre, de ses amis, de son
emploi, de son passe-temps et de ses intérêts extérieurs, ta jalousie mettra
fin à ton amour et pourrait très bien mettre fin à l’amour de l’autre
pour toi.
La bonne nouvelle, c’est que le fait de définir qui tu es, et qui tu
choisis d’être, n’a pas à t’amener à être jaloux d’un autre ni à
exercer un contrôle sur lui. Cela affirme simplement et amoureusement qui tu es
et comment tu choisis ta vie. Ton amour pour cet autre se poursuit lorsque tu règles
avec amour et compassion les différences qui peuvent exister entre vous, peu
importe de quelle façon vous changerez la nature de votre relation par suite de
ces différences.
Pour transformer une relation, tu n’as pas à y mettre fin. En effet,
tu ne peux pas mettre fin à une relation : tu ne peux que la modifier. Tu
es toujours en relation avec tout le monde. La question n’est pas de savoir si
tu as une relation, mais quel genre de relation tu as.
Ta réponse à cette question affectera ta vie à jamais – et en effet, pourrait véritablement changer le monde.
Pourquoi les amours interdits ? (Ames sœurs et flammes jumelles)
(Kryeon)
Il
y a des différences entre l’âme sœur et la flamme jumelle, et d’autres en
ont déjà donné les détails. Toutefois, le fait demeure : tous les deux
provoquent une “charge” d’énergie que vous ressentez au niveau
cellulaire.
Dans certains cas, quelques-uns parmi vous espèrent trouver cette personne pour
entretenir une relation personnelle ou professionnelle avec elle, et le temps a
attendu le moment propice à une union. Savoir comment agir avec une telle
personne fait partie de votre nouveau pouvoir intuitif de communication avec
votre Moi divin. En général, la situation vous montrera clairement s’il vous
faut agir ou non avec elle.
N’essayez pas de provoquer une situation ou de vous illusionner en pensant que
vous devez agir si vous “reconnaissez“
une âme sœur.
I
Il est plus souvent exact d’affirmer que l’âme sœur ou flamme jumelle en
provenance d’une vie antérieure n’est qu’une “énergie karmique” que
vous reconnaissez, plutôt qu’un signe ou une indication de l’Univers destinés
à vous indiquer une future relation sentimentale. Cet apparent message
romantique est souvent erroné et provoqué par l’étrange énergie de votre
vie antérieure présente en cet instant. Ceux qui ont ignoré ce conseil se
sont trouvés confrontés à une puissante et fort déplaisante leçon. Très
souvent, cette personne est la dernière personne que vous souhaiteriez voir
impliquée dans votre présente existence ! Etincelle est un mot français qui
vous donnera une idée de ce qui peut survenir entre vous deux. Vous êtes
souvent opposés magnétiquement durant cette existence, de façon à vous
maintenir éloignés l’un de l’autre. Essayer de forcer cette situation peut
générer le même choc qu’entre deux pierres. C’est pourquoi vous n’avez
pas rencontré cette personne plus tôt. Comment se rendre compte d’une telle
situation ?
Pour savoir si une situation est correcte, le secret réside dans la synchronicité et la facilité d’action. Si vous vous retrouvez en plein chaos en essayant de vous assortir avec ce “parfait” partenaire, si vous constatez que rien ne se passe facilement, alors la situation vous hurle qu’elle n’est pas appropriée !
Comment porter la joie dans son cœur ? Comment en avoir s’il n’y en a pas ?
(Dieu)
p.206 Tu veux connaître les cinq attitudes de Dieu ? Regarde la première.
« Joie totale. »
C’est la première attitude. As-tu remarqué ? Je l’ai placée en premier.
Et alors, qu’est-ce que tu veux dire par là ?
Je veux dire qu’elle arrive avant toutes les autres. Que c’est ce qui
rend tout possible. Sans joie, il n’y a rien.
Je veux dire qu’à moins de mettre un peu d’humour dans votre vie, rien de cela n’aura de sens. Que le rire est le meilleur remède. Que la joie est bonne pour l’âme.
J’irai plus loin. La joie, c’est l’âme. L’âme, c’est ce que
vous appelleriez la joie. La joie pure. La joie infinie, naturelle, illimitée,
sans contrainte. Voilà la nature de l’âme.
Un sourire est une fenêtre sur ton âme. Le rire en est la porte.
Si l’âme est joyeuse, pourquoi ne l’êtes-vous pas ?
La réponse s trouve dans votre esprit. Pour libérer la joie qui se
trouve dans votre cœur, vous devez « avoir le cœur » à la joie.
p.209 Mais comment porter la joie dans son cœur ? Comment en avoir s’il n’y en a pas ?
Il y en a.
Certaines gens n’en font pas l’expérience.
Ils ne connaissent pas le secret de la joie.
Quel est le secret ?
On ne peut ressentir de joie à moins de lui donner libre cours.
Mais comment lui donner libre cours si on ne la sent pas ?
En aidant un autre à la sentir.
Libère la joie qui est en l’autre, et tu libéreras la joie qui est en
toi.
On peut le faire simplement au moyen d’un sourire, d’un compliment ou
d’un regard d’amour. Et on peut l’accomplir au moyen d’une chose aussi
belle que faire l’amour.
Avec une chanson, une danse, un coup de pinceau, un moulage d’argile,
des rimes. Lorsque les mains se tiennent, que les esprits se rencontrent, que
les âmes s’associent. Par la création mutuelle de tout ce qui est bon,
adorable et utile.
Par le partage d’un sentiment, l’expression de la vérité. la fin de
la colère, la guérison du jugement. Par la volonté d’écouter et celle de
parler. Par la décision d’oublier et le choix de libérer.
Par l’engagement à donner et la grâce de recevoir.
Je te le dis : qu’il y a mille façons de libérer la joie dans le
cœur d’un autre. Non, mille fois mille. Et au moment où tu décideras de le
faire, tu sauras comment.
Que signifie être d’une acceptation totale ?
(Dieu)
p.250 Que signifie être d’une acceptation, d’une bénédiction et d’une reconnaissance totales ?
Etre d’une acceptation totale veut dire ne pas s’opposer à ce qui se
présente à l’instant. Ne pas le rejeter, ni le repousser, ni s’en éloigner,
mais l’embrasser, le tenir, l’aimer comme si c’était à toi. Car c’est
à toi. C’est ta propre création, celle dont tu es satisfait – à moins que
non.
Dans ce cas, tu résistes au faut d’assumer ce que tu as créé, et ce
à quoi tu résistes persiste. Par conséquent, réjouis-toi, sois content,
et si tu choisis de changer la circonstance ou la condition présente, choisis
tout simplement d’en faire l’expérience d’une autre façon. L’apparence
extérieure, la manifestation extérieure, ne subira peut-être aucun
changement, mais ton expérience intérieure pourra en être changée et le sera
à jamais : il suffit que tu le décides.
Dis-moi si je comprends bien. Il faut accepter tout, même les choses avec lesquelles on n’est pas d’accord ?
Accepter une chose ne veut pas dire refuser de la changer. En fait,
c’est le contraire qui est vrai. On ne peut changer ce qu’on n’accepte pas
– en soi-même, surtout, et aussi à l’extérieur de soi.
Par conséquent, accepte tout comme étant la divine manifestation de la divinité en toi ? Puis, déclare-toi son créateur, et ce n’est qu’alors que tu pourras la « décréer ».
Pourquoi la gratitude est-elle si importante ?
(Dieu)
p.254 C’est un élément important, ce sentiment de gratitude, non ?
Oui. La gratitude est l’attitude qui change tout. Eprouver de la
gratitude pour une chose, c’est cesser d’y résister, la voir et la reconnaître
comme un cadeau, même lorsque le cadeau n’est pas immédiatement apparent.
De plus, comme on vous l’a déjà enseigné, la gratitude à l’avance
pour une expérience, une condition ou un résultat est un outil puissant dans
la création de votre réalité, et un signe certain de maîtrise.
Pour moi, c’est un autre endroit propice pour mentionner ma prière préférée, la prière la plus puissante que j’aie jamais entendue. Merci, Dieu, de m’aider à comprendre que ce problème a déjà été résolu pour moi.
Oui, c’est une prière vraiment puissante. La prochaine fois que tu seras confronté à une
condition ou à une circonstance que tu jugeras problématique , exprime ta
gratitude immédiate non seulement pour la solution mais pour le problème même.
Ce faisant, tu changeras instantanément ta perspective et ton attitude à son
égard.
Ensuite, bénis la. Donne-lui tes meilleures énergies et tes pensées
les plus élevées. Tu t’en fais alors une amie, et non une ennemie :
elle te soutient, plutôt que de s’opposer à toi.
Puis, accepte-la et ne résiste pas au mal. Car ce à quoi tu résistes
persiste. Tu peux changer ce que tu acceptes.
Ensuite, enveloppe-la d’amour. Peu importe ce que tu vis, tu peux littéralement
éloigner par l’amour toute expérience non désirée ; tu peux « l’aimer
à mort ».
Finalement, sois joyeux, car le résultat exact et parfait est à portée de la main. Rien ne peut t’enlever ta joie, car la joie, c’est qui tu es et qui tu seras toujours. Alors, devant chaque problème, fais quelque chose de joyeux.
Comme Anna le chantait dans la comédie musicale Le Roi et moi :
« Chaque fois que j’ai peur, je garde la tête droite et je siffle un air joyeux, pour que personne ne me soupçonne d’avoir peur.
« Chaque fois que je siffle cet air joyeux, le bonheur de la chanson me convainc de ne pas avoir peur ! »
(Dieu)
p.302 « Unité » ne veut pas dire « égalité », non ?
Unité ne veut pas dire similarité, c’est juste.
Alors, que veut vraiment dire l’Unité ?
La question n’est pas : Que veut dire l’Unité ? C’est plutôt : Que veut dire l’Unité pour toi ?
C’est une décision qui doit être prise dans chaque cœur humain. Et
à partir de ta décision, tu créeras ton avenir – ou y mettras fin.
Mais au moment même où vous réfléchissez à cela, des conseils, de la
compréhension, de la sagesse vous ont été donnés pour vous aider – non pas
pour faire le bien, car le « bien » est un terme relatif, mais pour
arriver là où vous dites vouloir aller, pour faire ce que vous dites vouloir
faire.
Comme Je l’ai déjà fait remarquer, en tant que race humaine, en tant
qu’espèce, vous dites vouloir vivre ensemble dans la paix et l’harmonie,
vouloir créer une meilleure vie pour vos enfants et être heureux. Vous pouvez
vous entendre au moins là-dessus.
Ainsi, ces conseils vous ont été donnés, et se résument à trois
points : nous sommes tous Un ; il y en a assez pour tout le monde ;
nous n’avons rien à faire.
p.304
Nous nous aventurons à nouveau du côté de ce domaine que tu appelles
la « spiritualité sociale », et bien des gens ne veulent pas y
aller. Cela les oblige à regarder des choses qu’ils ne veulent pas regarder.
Vous seulement pouvez décider comment appliquer la vérité de
l’Unité. Tous les sermons et tout l’enseignement du monde n’y changeront
rien. Seul un changement dans le cœur humain peut apporter un changement dans
la condition humaine.
Qu’est-ce qui peut provoquer un tel changement ?
La question n’est pas « Qu’est-ce que ? ». C’est
plutôt « Qui ? ». Et la réponse est « Toi ». Tu
peux. Tout de suite.
Moi ? Maintenant ?
Si ce n’est pas toi, qui le fera ? SI ce n’est pas maintenant, quand ?
Mais – puis-je argumenter un peu avec toi, ici ? – je croyais que tu avais dit que nous n’avions « rien à faire ».
J’ai vraiment dit cela, et il n’y a vraiment rien à faire.
Alors, qu’est-ce qui se passe ? « Porter le message » n’est pas faire une chose ?
Non. C’est une chose que tu « es ». Tu ne peux pas faire
le message, tu ne peux qu’être le
message. Car tu n’est pas un « faire humain », mais un être
humain.
Tu portes le message en toi, et
non pas avec toi. Tu es le
message. C’est ta spiritualité en action. Ne le vois-tu pas ?
Ton message est ta vie, telle que
tu la vis. Tu répands la parole que tu es.
N’est-il pas écrit : Et le Verbe s’est fait clair ?
p.313 Pour
faire l’expérience de l’Unité, vous n’avez pas à disparaître en tant
qu’individu. C’est là la plus grande peur, bien sûr. La plus grande peur
est que l’Unité veuille dire la similitude et que ce qui vous sépare du Tout
disparaisse. Ainsi, vous disparaîtrez. Et ainsi, la lutte contre l’Unité sera une
lutte de survie.
Mais l’Unité ne mettre pas fin à votre survie en tant qu’expression
individuelle du Tout. elle va plutôt la permettre.
A présent, vous vous entre-tuez par amour pour vous-mêmes, pour vos
croyances et pou votre haine des autres et les leurs. Vous entretenez ce concept
suivant lequel, afin de survivre en tant que personne, race, religion ou nation,
vous devrez faire en sorte que personne d’autre ne survive. Voilà votre
mythe, appelé la survie du plus fort.
En vivant le nouvel évangile de l’Unité [nous sommes tous Un], non
seulement vous n’aurez pas à lutter pour la survie mais vous la garantirez en
ne luttant pas
pour elle. Cette solution simple, qui vous a longtemps échappée, changera
tout.
Alors, vous cesserez de lutter pour la survie le jour où vous vous
apercevrez que vous ne pouvez pas ne pas
survivre. Vous cesserez de vous
tuer mutuellement le jour où vous vous apercevrez qu’il n’y a pas
d’ « autre ».
La vie est éternelle, et nous sommes seulement Un.
C’est deux vérités rendent inutile presque tout ce que vous avez fait
dans votre vie. Lorsque vous les comprendrez, elles transformeront votre vie en
la changeant en une glorieuse expression de la version la plus grandiose de la
plus grande vision que vous ayez jamais entretenue à propos de qui
vous êtes.
La vie est éternelle, et nous sommes seulement Un.
Ces deux vérités résument tout et changent tout.
La vie est éternelle, et nous sommes seulement Un.
Ces deux vérités, c’est tout ce que vous aurez jamais besoin de
savoir.
Une belle prise de tête : qu’est-ce que la conscience ?
(Dieu)
p.308
La conscience est un état
d’être dans lequel tu peux choisir de vivre. C’est être éveillé à
l’instant. C’est être un fin observateur de ce qui est, et pourquoi ;
de ce qui se passe, et pourquoi ; de ce qui peut faire en sorte que cela
n’arrive pas, et pourquoi ; de tous les résultats possibles – et fort
probables – de tout choix ou geste, et de ce qui les rend possibles et
probables.
La conscience concerne le fait d’être conscient, tout en étant
conscient de l’être. C’est être conscient d’être conscient, et être
conscient d’être conscient d’être conscient d’être conscient.
La conscience a plusieurs niveaux.
La conscience, c’est être conscient du niveau de conscience dont tu es
conscient, et c’est être conscient qu’il n’y a aucun niveau de conscience
dont tu ne puisses être conscient, si tu es conscient de cela.
Lorsque tu choisis une vie de conscience, tu ne fais plus les choses
inconsciemment. Tu ne peux pas, car tu es conscient de faire quelque chose
inconsciemment, et cela, bien entendu, signifie que tu le fais consciemment.
Il n’est pas difficile de choisir une vie de conscience lorsqu’on est
conscient du fait que ce n’est pas difficile. La conscience se nourrit
d’elle-même. (…)
La conscience, c’est remarquer l’instant. C’est s’arrêter,
regarder, écouter, sentir, vivre pleinement ce qui se passe. C’est une méditation.
La conscience change tout en méditation. Laver la vaisselle. Faire l’amour.
Tondre la pelouse. Dire un mot à quelqu’un. Tout devient une méditation.
(…)
La conscience, c’est atteindre le niveau de l’observateur non observé.
Tu t’observes toi-même. Puis, tu t’observes en train de t’observer. Puis,
tu t’observes en train de t’observer en train de t’observer en train de
t’observer. Finalement, il n’y a personne qui t’observe en train de
t’observer. Tu es devenu l’observateur non observé.
Voilà la pleine conscience.
C’est facile. Ce n’est pas aussi difficile ni aussi compliqué
qu’il y paraît. C’est s’arrêter, regarder, écouter, sentir. C’est
savoir, et savoir que l’on sait. C’est arrêter de faire semblant.
Là, tu t’occupes de tes affaires. Tu t’occupes de toi. Dans le passé,
tu faisais ce que tu faisais avant de t’en occuper. On peut dire que tu
faisais semblant. [Tending = s’occuper de. Pre-tending = faire semblant
(NDT).]
C’est remarquable. Je n’ai jamais vu ça.
Oui, tu l’as déjà vu. C’est ce qu’a enseigné le Bouddha. C’est ce qu’a enseigné Krishna. C'est ce qu’a enseigné Jésus. C’est ce qu’a enseigné chaque Maître qui a jamais vécu et qui vit encore.
(Dieu)
p.134 Comment puis-je me connaître comme quelqu’un qui n’a besoin de rien d’extérieur à lui-même ?
Reste en silence, tout simplement. Sois avec ton Etre dans le calme.
Fais-le souvent. Fais-le chaque jour. Même chaque heure, à petites doses, si
tu peux.
Arrête –toi, tout simplement. Cesse de faire. Cesse de penser.
Contente-toi d’ « être » quelque temps. Même un seul
instant. Cela peut tout changer.
Réserve-toi une heure chaque jour, à l’aube, pour la donner à ton Etre. Rencontre ton Etre dans l’instant sacré. Puis, commence ta journée. Tu seras une personne différente.
Tu parles de la méditation.
Ne te laisse pas prendre par les étiquettes ou les façons de faire.
Ce que tu appelles la méditation n’est que le moment où tu te
retrouves ton Etre – et ainsi, en définitive, d’être
ton Etre.
Tu peux y arriver de bien des façons. Pour certains d’entre vous, cela
peut ressembler à ce que vous appelez de la « méditation » -
c’est-à-dire être assis en silence. Pour d’autres, cela peut être de
marcher seuls dans la nature. Récurer un plancher de pierre à quatre pattes
avec une brosse, cela peut aussi être une méditation – comme l’ont découvert
bien des moines. D’autres, des étrangers, arrivent au monastère, voient ce
travail et se disent : Oh, quelle dure vie ! Mais le moine est profondément
heureux et paisible. Non seulement il ne cherche pas à éviter ce travail, mais
il cherche un autre plancher à récurer ! Amenez-moi un autre plancher !
Une autre brosse ! Donnez-moi une autre heure à quatre pattes, le nez collé
au sol, et vous aurez le plancher le plus propre que vous ayez jamais vu !
Et mon âme sera nettoyée au cours de ce processus. Assainie de toute pensée
du genre : pour être heureux, il faut quelque chose d’extérieur à soi.
Le service peut être une forme profonde de méditation.
D’accord, supposons que j’ai découvert que, pour être vraiment heureux, je n’ai besoin de rien de la part de qui que ce soit d’autre. Cela me rendra-t-il asocial ?
Au contraire, cela te rendra plus social que jamais, car dorénavant, tu
verras clairement que tu n’a rien à perdre ! Rien
n’inhibe davantage votre amour les uns pour les autres que la pensée
d’avoir quelque chose à perdre.
Dans Conversations avec Dieu, tu as dit que même le fait de faire l’amour, de faire l’expérience de l’extase sexuelle, pouvait être une forme de méditation.
C’est juste.
Mais ce n’est pas être avec son Etre. Cela ressemble à être avec un autre.
Alors, tu ne sais pas ce que c’est que d’être vraiment amoureux. Car lorsque vous êtes vraiment amoureux, il n’y a qu’une seule personne dans la pièce. Vela commence par être avec un autre, pour devenir l’expérience de ne faire qu’Un – d’être avec l’Etre. En effet, c’est le but final de l’expression sexuelle et de toute forme d’amour.
Voir aussi fluidité.
Quels sont les effets de la méditation ?
(Dieu)
p.159 « Rien n’est mal, sinon le fait de penser que c’est mal. »
Exactement.
Alors, de temps en temps, il serait bien de cesser tout à fait de penser. D’entrer en contact avec une réalité supérieure. De sortir de l’illusion.
Comment puis-je cesser de penser ? Il semble que j’ai toujours pensé. Je suis même en train de penser à ceci !
Tout d’abord, reste en silence. D’ailleurs, remarque que j’ai dit rester
en silence. Je n’ai pas dit de penser en silence.
Après être resté en silence un certain temps, tu remarqueras que ta
pensée ralentit, du moins, un peu, pour finalement s’apaiser. Alors, commence
à penser à ce à quoi tu penses.
Commence à penser où vont tes pensées. Puis, empêche
tes pensées d’y aller. Focalise-les. C’est la première étape de la maîtrise.
p.161 Que faire de toutes les pensées qui surgissent continuellement ?
Te revoilà en train d’y penser. Je t’invite à cesser de penser à
cela.
Si ton esprit continue de se remplir de pensées, contente-toi de les
regarder, dis-toi que c’est bien ainsi. (…) Ne les juge pas. Ne deviens pas
frustré.
Tu ne peux atteindre le vide en te plaignant sans cesse de ne pas y être.
C’est comme la question que tu viens tout juste de poser. Ce n’est
qu’une question. C’est une pensée qui a surgi. Elle fait partie de la
parade qui passe. Laisse-la passer. N’essaie pas d’y répondre, de la résoudre,
de la comprendre. Laisse-là seulement être là. Qu’elle fasse partie de la
parade qui passe. Puis laisse-là s’en aller. Remarque que tu n’as rien à
en faire.
Tu trouveras là une grande paix. Quel soulagement. Rien à vouloir, rien
à faire, rien à être, sinon exactement ce que tu es dans l’instant.
Lâche prise. Laisse les choses être comme elles sont.
Mais continue de regarder. Sans anxiété, sans attentes. Continue
seulement… de veiller doucement. Sans avoir besoin de rien voir… en étant
prêt à voir n’importe quoi.
Alors, la première fois que tu le feras, ou la dixième, la centième ou
la millième fois, tu verras ce qui ressemble à une flamme bleue vacillante ou
à une lumière dansante. Au début, cela pourra avoir l’apparence d’éclairs,
puis cela se stabilisera dans ta vision. Reste avec cela. Entres-y. Si tu sens
ton Etre se fondre avec, laisse-le faire.
Si cela arrive, il n’y aura plus rien d’autre à te dire.
Quelle est cette flamme bleue, cette lumière dansante ?
C’est toi. C’est le centre de ton âme. C’est ce qui t’entoure et
circule à travers toi. Dis bonjour à ton âme. Tu viens de la trouver, enfin.
Tu viens d’en faire l’expérience.
Si tu te fonds avec elle, si tu deviens Un avec elle, tu connaîtras une
sublime plénitude de joie que tu appelleras extase. Tu découvriras que
l’essence de ton âme est l’essence du moi. Tu seras devenu un avec moi.
Pour un seul moment, peut-être. Pour une nanoseconde. Mais ce sera suffisant.
Après cela, rien d’autre n’aura d’importance, rien ne sera plus jamais
comme avant, et rien dans ton monde physique ne l’égalera. Et alors, tu découvriras
que tu n’as besoin de rien ni de personne à l’extérieur de toi-même.
Cela semble un peu effrayant d’une certaine manière. tu veux dire que je ne voudrai plus jamais être avec quelqu’un d’autre ? Que je ne voudrai aimer personne, parce qu’on me donnera peut-être pas ce que j’ai trouvé en moi ?
Je n’ai pas dit que tu n’allais jamais aimer
personne ni rien à l’extérieur de toi . J’ai dit que tu n’aurais
jamais besoin de personne ni de rien d’extérieur à toi. Je le redis :
l’amour et le besoin ne sont pas la même chose.
Si tu as vraiment l’expérience de l’unité intérieure que j’ai décrite,
le résultat sera exactement le contraire de ce que tu crains. Au lieu de ne
plus vouloir être avec personne, tu voudras être avec chacun
– mais alors, pour la première fois, pour une raison complètement différente.
Tu ne chercheras plus à être avec les autres pour tirer quelque chose
d’eux. Dorénavant, tu chercheras à leur
donner quelque chose. Car de tout ton cœur, tu désireras partager avec eux
l’expérience que tu as trouvée en toi – l’expérience de l’Unité.
Tu chercheras cette expérience de l’Unité avec chacun, car tu sauras
que c’est la vérité de ton être et voudras connaître cette vérité en
faisant l’expérience.
C’est alors que tu deviendras « dangereux », car tu tomberas amoureux de tout le monde.
Comment trouver les solutions ?
(Dieu)
Penser constitue la méthode de création la plus lente.
Rappelle-toi ! ton esprit doit avoir de l’information pour créer.
Ton être, lui, n’a besoin d’aucune information. Car l’information
est illusion. C’est ce que tu inventes ; ce n’est pas ce qui est.
Cherche à créer à partir de ce qui est, plutôt qu’à partir de
l’illusion. Crée à partir d’un état d’être plutôt que d’un état
mental.
Un génie n’est pas celui qui crée une réponse mais bien celui qui découvre que la réponse a toujours été là. Il ne crée pas la solution, mais la trouve.
Il ne s’agit donc pas vraiment d’une découverte,
mais d’une récupération ! Le génie n’a rien découvert : il a
tout simplement récupéré ce qui était égaré.
Comment créer sa réalité et choisir d’être ce que l’on est ?
(Dieu)
Tu peux choisir « d’être » différemment !
Ca ne me semble pas possible. Je me sens comme je me sens. Je ne peux pas contrôler ça.
La façon dont tu te sens est une réponse à la façon dont tu es. Et
cela, tu peux le contrôler. « L’état
d’Etre », c’est celui dans lequel tu te places, et non une réaction.
« Sentir » est une réaction, mais « être » n’en est
pas une. Tes sentiments sont ta réaction à ce que tu es, mais ton être
n’est une réaction à rien. C’est un choix.
Je choisi d’être ce que je suis ?
En effet, c’est bien ça.
Comment se fait-il que je n’en sois pas conscient ? Je n’ai pas l’impression d’être conscient de ça.
La plupart des gens ne le sont pas. Car la majorité ont oublié qu’ils créent leur propre réalité. Mais ce n’est pas parce que tu as oublié que tu faisais cela que tu ne le fais pas. Cela veut tout simplement dire que tu ne le réalises pas.
« Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. »
Exactement.
Est-ce que je ne peux tout simplement pas choisir d’être heureux ?
Oui.
Comment faire ?
Ne le fais pas. N’essaie pas de « faire » heureux. Choisis tout simplement d’ « être » heureux, et tout ce que tu fais jaillira de cela. tout naîtra de cela. Ce que tu es donne naissance à ce que tu fais. Souviens-toi toujours de cela.
Mais comment puis-je choisir d’être heureux ? Le bonheur n’est-il pas quelque chose qui arrive ?
Non ! C’est quelque chose que tu choisis
d’être à cause de ce qui est en train de se passer, ou qui va se passer. Tu es en train de choisir d’être heureux. N’as-tu jamais vu deux
personnes réagir de façon complètement différente aux mêmes circonstances
extérieures ?
Bien sûr. Mais c’est parce que les circonstances avaient un sens différent pour chacune.
C’est toi qui détermines ce qu’une chose signifie ! Toi seul lui
donnes son sens. Jusqu’à ce que tu décides de la signification d’une
chose, elle n’a absolument aucun sens. Rappelle-toi. Rien, en soi, n’a de
signification.
La signification jaillira de ton état d’Etre.
C’est toi qui choisi, à chaque instant, d’être heureux. Ou qui
choisis d’être triste.
Alors, voici le grand secret. Tu peux choisir un état d’être avant
qu’une chose arrive, tout comme tu peux le faire après qu’elle soit arrivée.
Ainsi, tu peux créer ton expérience,
et non te contenter de l’avoir.
En fait, c’est ce que tu es en train de faire maintenant. A chaque
instant. Mais tu le fais peut-être inconsciemment. Tu es peut-être somnambule.
Dans ce cas, il est temps, à présent, de te réveiller.
Mais tu ne peux être totalement réveillé et penser en même temps.
Penser est une autre façon d’être en état de rêve. Car ce à quoi tu
penses est l’illusion. Tu vis dans l’illusion, tu t’es placé là, et tu
dois donc y penser. Mais rappelle-toi ! la pensée crée la réalité.
Alors si tu as créé une réalité que tu n’aimes pas, n’y penses plus !
« Rien n’est mal, sinon le fait de penser que c’est mal. »
Exactement.
Alors, de temps en temps, il serait bien de cesser tout à fait de penser. D’entrer en contact avec une réalité supérieure. De sortir de l’illusion.
Choisir sa réalité
Il est une saison pour tout, et un temps pour chaque chose, sous le ciel.
Un temps pour naître et un autre pour mourir ; (…)
un temps pour la guerre et un autre pour la paix.
De quoi est-il temps, aujourd’hui ? Voilà la question. Quel temps
choisis-tu que ce soit, maintenant ? Tu as eu tous ces temps, et désormais,
il est temps que tu choisisses quel temps tu veux vivre cette fois !
(Dieu)
Et s’il y a une personne ou une condition par lesquelles on préférerait ne plus être touchés dans notre vie ? S’il y a une personne ou une condition que l’on trouve difficile d’aimer et auxquelles on résiste malgré tout ?
Ce à quoi tu résistes persiste.
Souviens-toi de cela.
La solution, alors ?
L’amour.
Il n’y a aucune condition, aucune circonstance, aucun problème que
l’amour ne puisse résoudre. Cela ne veut pas dire que tu dois te soumettre à
l’abus. Nous avons déjà discuté de cela. Cela signifie que l’amour, pour
toi et pour les autres, est toujours la solution.
Comment se lier d’amitié avec Dieu ? (Les 7 étapes nécessaires pour arriver à Dieu)
(Dieu) p.47
Tout d’abord, établissons
les 7 étapes nécessaires pour arriver à Dieu
Un : connaître
Dieu.
Deux : avoir
confiance en Dieu.
Trois : aimer Dieu.
Quatre :
embrasser Dieu.
Cinq : utiliser
Dieu.
Six : aider Dieu.
Sept : remercier
Dieu.
p. 137 Vous ne pouvez recevoir l’amour de Dieu que de la façon dont vous donnez le votre à Dieu.
p.320
Et surtout, allez maintenant
vivre votre amour, et ne vous contentez pas d’en parler. Car si vous parlez la
langue des hommes et des anges sans démontrer aucun amour, vous ne serez
qu’un tambour creux. Même si vous pouvez faire des prophéties et comprenez
tous les mystères et toute la connaissance, même si vous avez toute la foi qui
déplace les montagnes, mais n’avez pas d’amour, vous n’exprimerez pas la
vision la plus grandiose de la plus grande version que vous ayez jamais
entretenue à propos de qui vous êtes.